5 conseils pour se préparer à arrêter de fumer à la fin de l’été

L’été, période de l’année bien connue pour être celle des tentations, touche à sa fin. Ce qui signifie que la fréquence des sorties au parc, soirées festives et les barbecues entre amis devrait progressivement diminuer. Ces activités sociales, qui sont associées à la consommation de cigarettes et d’alcool, peuvent rendre compliqué un processus d’arrêt tabagique. C'est pourquoi la fin de l'été peut être un moment propice à un arrêt tabagique. Voici 5 conseils pour vous préparer à arrêter de fumer à la fin de l'été!


1. Définissez les raisons qui vous poussent à arrêter de fumer

Lorsqu’on parle d’arrêt tabagique, il est extrêmement important de définir les raisons qui nous y poussent, afin de vous les remémorer lors des moments plus difficiles. Vos motivations pourraient être l’amélioration de votre santé ainsi que celle de votre famille et de vos proches, ou encore les économies sur votre portefeuille. Saviez-vous qu’un fumeur dépense entre 3 000 et 5 000 $ par année pour s’acheter des cigarettes? Imaginez ce que vous allez pouvoir faire avec cet argent économisé! En fait, toutes les raisons sont bonnes pour arrêter de fumer!


2. Fixez vous une méthode d’arrêt

Ça y est, maintenant que vous avez pris la décision d’arrêter de fumer, il reste à définir quand et comment. Allez-y avec ce qui vous convient : vous pourriez choisir d’arrêter de manière abrupte, c’est-à-dire de complètement arrêter de fumer à partir d’un jour donné; ou vous pourriez encore choisir d’arrêter de manière progressive, ce qui signifie de diminuer votre consommation de tabac, jusqu’à arrêt total.

Le saviez-vous? La méthode d’arrêt fait partie des nombreuses fonctionnalités des services nationaux de cessation tabagique J’ARRÊTE, disponible en ligne 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, par texto, par téléphone ou en personne dans l’un des centres d’abandon du tabagisme du Québec.


3. Préparez vous pour le jour J

Une fois que votre date et votre méthode d’arrêt sont définies, vient le moment de mettre en place des stratégies pour résister à la cigarette lorsque des envies surviendront. Par exemple, lorsque vous avez un souper organisé par des amis, faites-vous accompagner par un ami qui vous soutient dans votre démarche. Se sentir épaulé est essentiel pour mettre toutes les chances de son côté. Lorsque vous sortez encore, vous pouvez garder près de vous une balle anti-stress, pour vous occuper l’esprit en cas d’envie. Ce qui importe, c’est de trouver ce qui fonctionne avec vous!


4. Profitez de la rentrée pour débuter une nouvelle activité!

Lors d’un arrêt tabagique, pratiquer une activité physique fait partie des recommandations. Le mois de septembre arrive, ce qui veut dire que les sessions d’automne de nombreuses activités vont débuter! Profitez de cette occasion pour commencer une nouvelle activité, ou en reprendre une que vous avez lâchée par manque de temps et/ou de motivation.

Saviez-vous que lorsqu’on pratique une activité physique, au-delà de 30 minutes d’effort, le cerveau secrète des endorphines, et en particulier de la dopamine, l’hormone du bonheur? C’est pour cette raison que l’on ressent une sensation de bien-être général après s’être dépensé!

Si vous êtes plutôt activité manuelle, allez-y avec du dessin, de la peinture ou toute autre activité créative! Le principal, c’est de trouver quelque chose qui vous plait!


5. Gérez vos envies de fumer avec les services J'ARRÊTE

Les services J’ARRÊTE offrent des accompagnements gratuits et personnalisés aux personnes qui désirent arrêter de fumer, de l’élaboration de leur plan d’arrêt à sa réalisation, et ce, à leur rythme. Ils sont accessibles en ligne sur jarrete.qc.ca / iquitnow.qc.ca, un service disponible, 7 jour sur 7, 24 heures sur 24, par texto, par téléphone (1 866 JARRETE (1 866 527-7383) ou en personne dans l’un des centres d’abandon du tabagisme du Québec. Libre à vous de choisir l’option qui convient le mieux à votre réalité! D’ailleurs, rien ne vous oblige à faire un choix, les services J’ARRÊTE sont cumulables!

À trois, on y va?